Cécile FIX
Hypnothérapeute à Paris 6 et Paris 8

Cécile FIX, hypnothérapeute à Paris 6 et Paris 8

Cécile FIX est spécialisée dans l'arrêt du tabac

Tabac à Paris 6 et Paris 8

Tabac

Arrêter de fumer en apprenant à gérer son stress, ses émotions, ses consommations.

La demande du fumeur : « Je viens pour arrêter de fumer mais j’aime fumer ! Si je ne fume pas, je ne sais pas quoi faire de mes mains, je deviens nerveux, voire agressif par frustration et je suis mal à l’aise en société. Surtout, j’ai peur de prendre du poids. » 

« On dit qu’en 1 ou 2 séances d’hypnose on peut y arriver ! Que pouvez-vous faire pour moi ?

Psychogénéalogie

Toute addiction est un symptôme plus ou moins grave qui peut masquer des difficultés dans la gestion de sa vie pour faire face aux autres, à la solitude, au stress, aux émotions, à un manque d’aisance et de confiance en soi. 

Un 1er entretien servira à comprendre le pourquoi du besoin d’utiliser cette béquille. Le nombre de séance est au cas par cas. Si la personne est prête, une à trois séances d’hypnose sont possibles.  

Le futur ex-fumeur doit apprendre ou, réapprendre à se positionner face à cette obsession et au besoin impérieux d’utiliser le la cigarette. 

Si une personne est prête consciemment et inconsciemment à s’en libérer, qu’elle consomme 1 à 3 paquets par jour, le miracle peut s’accomplir mais, il faut rester prudent. C’est à dire, veillez à ne pas compenser sur la nourriture ou autres (déplacements). 

Les rechutes ? Elles sont utiles et s’étudient en face à face et en hypnose une recherche de ce qui a pu en être la cause et créer un nouvel ancrage comme il aurait été bien de vivre la situation ayant créer À partir de là, de nouveaux ancrages comportementaux sont développés dans le sens ressenti et souhaité. 

La pratique régulière de l’Auto-hypnose à base de Respiration Consciente favorise l’équilibre psychologique et émotionnel. Il en découle une sensation d’apaisement, d’ouverture et de force tranquille que la personne addict va pouvoir utiliser spontanément pour faire face aux situations conflictuelles. 

Sans ressentir le besoin de placer machinalement dans sa bouche quelque chose afin d’anesthésier ses gènes ou son mal-être. 

La psychogénéalogie

La psychogénéalogie est une pratique développée dans les années 1970 par Anne Ancelin-Shützenberger, psychologue, fondée sur ses propres observations cliniques face aux souffrances qui a conceptualisé ses observations cliniques. Freud avait vers 1913 avait déjà tenté d'expliquer la transmission d'inconscient à inconscient et Carl Gustav Jung a ouvert la voie d'une approche transgénérationnelle vers 1909 avec sa théorie d'un incollectif et de la notion d'âme.

Plus tard, l'approche psychanalytique des travaux de Nicolas Abraham et de Maria Torok vont ouvrir sur les symptômes résultants de secrets inavouables, de deuils non faits et autres problématiques. Les concepts de "cripte" et de "fantôme" sont nés.

Comment entreprendre un travail en Psychogénéalogie ?

Entreprendre un travail en Psychogénéalogie est une bonne base pour reconstituer l'histoire familiale. À partir de la construction d'un arbre généalogique ou génosociogramme par une recherche approfondie des : (Nom, prénoms, dates de naissance et de décès, d'union, de séparation, des enfants -  les accidents de grossesse et autres évènements importants).

En remontant vers les ancêtres afin de donner progressivement des ouvertures et du sens quant aux reproductions possibles d'accidents, de suicides, de maladies, d'inceste avec ses non-dits et autres événements graves de la vie ayant pu déstabiliser un des groupes dans son système de fonctionnement avec ses répercussions et ses mécanismes de défenses devenus inconscients et qui vont se transmettre sur certains les descendants. Mieux comprendre d'où nous venons et quelle place nous a été donnée ou que nous avons prise par loyauté ou pour en tirer certains bénéfices sont, bien sûr, des faux choix dans une structure familiale dysfonctionnelle. Les recherches entreprises pour le génosociogramme vont aider à faire se révéler et à donner  du sens à ce qui n'était pas visible ni compréhensible, comme des pages manquantes à notre histoire. Pouvoir inscrire ce qui complète et donne sens est un grand soulagement qui allège, même si ce qui est découvert ou révélé a pu être grave. 

Une fois certains noeuds transgénérationnels mis au jour et avoir "digéré" certaines révélations, le travail en psychogénéalogie est un excellent soutien, souvent nécessaire pendant quelques temps. 

Pour compléter, pratiquer quelques constellations pourront être  envisagées à un certain rythme avec le psychogénéalogiste  connaissant bien où en est le demandeur de son état intérieur et de son évolution personnelle et familiale au sens large. 

Ayant, moi-même, entrepris cette démarche en psychogénéalogie durant deux années, j'en connais les remous et les avantages qui ont été gratifiants en bien des points. Je prépare acuellement une formation certifiante en psychogénéalogie.

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